Le Baiser de l'hôtel de ville est une célèbre photographie en noir et blanc du photographe français Robert Doisneau. Prise en 1950 à proximité de l'hôtel de ville de Paris, elle représente un homme et une femme qui s'embrassent tout en marchant sur un trottoir encombré de passants, devant une terrasse de café. Il s'agit d'une scène posée réalisée dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life avec la complicité des deux protagonistes, étudiants en théâtre, Françoise Bornet et son petit ami Jacques Carteaud. Ces derniers, dont l'identité fut longtemps inconnue, y compris de l'auteur lui-même, se séparèrent par la suite. Cette photographie est devenue particulièrement célèbre avec la commercialisation, en 1986, de 410.000 exemplaires d’un tirage en format poster, un record mondial.
Ce n´est donc pas un baiser, c´est effectivement le montage d´une histoire d´amour, rien ne semble plus être vrai, c´est aussi le message de Magritte d´ailleur, lire entre ligne, voire ce qui n´est pas, croire en ce qui n´est plus. Et comme dit si bien Prévert dans "Paroles" et son poéme Le Paysage Changeur:"De deux choses Lune, L´autre c´est le Soleil,"
Parece ser que los protagonistas del montaje, aunque amantes en realidad, se separaron a consecuencia del beso? Entonces fue casi el último como titulas. Difícil de entender. Hemos destripado tu beso último?
6 comentarios:
A este beso le falta algo.
Es cierto... es un beso de "brazos caídos", un beso sin deseo, sin pasión .... es un beso triste y solitario
Le Baiser de l'hôtel de ville est une célèbre photographie en noir et blanc du photographe français Robert Doisneau. Prise en 1950 à proximité de l'hôtel de ville de Paris, elle représente un homme et une femme qui s'embrassent tout en marchant sur un trottoir encombré de passants, devant une terrasse de café. Il s'agit d'une scène posée réalisée dans le cadre d'un travail de l'auteur pour le magazine Life avec la complicité des deux protagonistes, étudiants en théâtre, Françoise Bornet et son petit ami Jacques Carteaud. Ces derniers, dont l'identité fut longtemps inconnue, y compris de l'auteur lui-même, se séparèrent par la suite. Cette photographie est devenue particulièrement célèbre avec la commercialisation, en 1986, de 410.000 exemplaires d’un tirage en format poster, un record mondial.
Ce n´est donc pas un baiser, c´est effectivement le montage
d´une histoire d´amour, rien ne semble plus être vrai, c´est aussi le message de Magritte d´ailleur, lire entre ligne, voire ce qui n´est pas, croire en ce qui n´est plus. Et comme dit si bien Prévert dans "Paroles" et son poéme Le Paysage Changeur:"De deux choses Lune, L´autre c´est le Soleil,"
Parece ser que los protagonistas del montaje, aunque amantes en realidad, se separaron a consecuencia del beso? Entonces fue casi el último como titulas.
Difícil de entender. Hemos destripado tu beso último?
Hoy meto este beso, a fondo, en Llobín del Puertu. Salud
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